Pas d'après Steven Spielberg , même pas d’après Hitchcock
C’est une histoire qui n’a pas eu lieu, mais l’histoire de réalité.
Lorsque j’avais 16 ans, mes amis m’ont presenté une femme chiс, qui etait si belle et charmante, que J’ai commencé à manquer mes classes de basket-ball. Je me suis passionné pour son charme ; cet océan de passion qui déferlait dans mes veines, causait ma déraison et j'ai frôlé Dieu parfois dans ses étreintes.
Ses mots doux encorcelaient ma tête et mon corps , elle me déboussolait et je me sentais star. Il y avait beacoup de joie, de distractions, de plaisirs; Je vivais dans le monde des rêves, détourné de mes prières au jour qui se leve pour la voir apparaître.
J'étais une homme inébranlable avant de la connaître, esuite je sentais comme un ver me ronge à l’intérieur et de même que mes forces presque tous mes amis m’abondonnèrent.
Elle m’a séduit . Il se passait entre elle et moi quelque chose de tellement fort que Je voulais toujours être à ses côtés , bien qu’elle beauté sur le retour.
J’ai oublié le basket-ball. Les hallucinations le fruit de mon imagination m'apparaissaient dans la nuit et me poursuivaient partout. On m’accusait toujours de mentir.
Elle m’a beaucoup promis, cependant Je n’ai rine recu. J’etais seule
dans la tour d’ivoire de mon corps qui cherchait par tous moyens de la dope. Je me trouvais toujours tellement fort. J’ai perdu ma volonté et Je me suis montrée tel que Je suis vraiment : fragile, paumé.
Maintes fois, J’ai connu les douleurs et après avoir pris de la dope, Je me suis tailladé les poignets. Et toujours, je revenais vers elle, pour la supplier de me caresser d'une main et me torturer de l'autre. J’avais de gros soucis qui perdurment. J’entandais les cloches défonce est devenue un cauchemar qui me déchirait et me hantait. Doucement Je m’enfoncais sans qu’aucune main me retienne. Je sens ma vie basculer vers la misère, le mal et les fous.
Petit otage d'illusion Je vis dansson attente. A quoi bon la prier. Je suis assis à table, vieillard cacochyme, boiteux et malade. Elle est assise en face, vieille femme, maigre et laide, elle ne ressemble plus à celle que Je connu, ange qui me souriat et qui me détruisait.
Nous deux avons signé un contrat...mais Je comprends aujourd'hui, que la moert s'est incarné en elle. A 16 ans, J’ai signé un pacte avec la mort.
P.S.
J’avais tous: mes parents, mes amis, ma santé, ma carrière. Desormais Je suis seul au fond de l'abîme. Je ne sais même plus son nom.
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