On peut délibérer à propos des conséquences de prise de drogues autant qu’on veut et n’en finir jamais. Mais le problème lié à la consommation des stupéfiants est aujourd’hui si grave que les faits seuls sont bien plus effrayants que n’importe quelles suppositions. Voilà, donc, les conséquences des drogues exprimées en chiffres :
La Russie :
550 milles est le nombre officiel de toxicomanes. Pourtant, la plupart des spécialistes estiment qu’en réalité ce nombre atteint entre 2,5 et 5 millions.
Selon les données de 2010, environ 100 milles personnes décèdent chaque année avant l’âge de 30 ans suite à la prise de drogues (ou suite à des maladies graves provoquées par la prise de drogues ou des overdoses).
2% d’usagers de drogues deviennent handicapés.
105 milles enquêtes sont ouverts dans les tribunaux du pays à l’égard des personnes d’une manière ou d’une autre liées au trafic de drogues.
15-17 ans est l’âge moyen d’initiation à la drogue en Russie.
La Russie est la plus grande consommatrice de l’héroïne dans le monde (environ 70 tonnes d’héroïne par an, seulement 2,6 tonnes ont été saisies en 2010).
Presque 75 milles personnes goutent à la drogue pour la première fois tous les ans.
2% de population du pays peuvent être considérés comme des usagers de drogues.
87% de toxicomanes en Russie consomment des opiacés.
Des enfants de 6-7 ans sont initiés à la drogue par leurs propres parents toxicomanes. En plus, ces cas deviennent de plus en plus nombreux.
Un toxicomane initie à la drogue 13-15 personnes par an.
Tous les ans, en Russie, à cause de la drogue meurent deux fois plus de personnes qu’en dix ans de guerre en Afghanistan. Par une dérision du destin, c’est de ce pays que proviennent 80% de tout le trafic de stupéfiants.
L’article est préparé d’après les données de FSKN (Service Fédéral Russe de contrôle de trafic de drogue), Office des Nations unies contre la drogue et le crime et des opinions des experts dans le domaine de toxicologie.
