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La Ligue mondiale «Esprit libre de drogues»: dans le souci des citoyens du monde

29.06.2012

La Ligue mondiale «Esprit libre de drogues» a passé la conférence «Un nouveau regard sur la lutte contre la toxicomanie et les méthodes d'innovation de sa prophylaxie» sans précédent selon l'échelle et la liste des participants. L'action était passée à l`occasion de La journée internationale contre l'abus et le trafic de drogues le 26 juin, et a recueilli en ligne plus de 200 mille personnes de tout le monde.
Le conseil des Membres honoraires de la Ligue a proposé 12 candidatures au titre des Militants mondiaux contre la toxicomanie. La liste du ТОP-12: Sa Sainteté le Dalai-Lama XIV, l'Impératrice du Japon Michiko, Sa Majesté la Reine Elizabeth II, le président du Venezuela Hugo Chavez, la modèle et l'actrice Charlize Theron, le président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbayev et les autres. Chacun de l'humaniste qui ont reçu le haut titre du militant contre la toxicomanie a préparé le Manifeste antidrogue spécialement pour le projet.

Les appels à l'humanité étaient publiés sur le portail MayaPlanet.org au jour de la conférence et ont reçu plus de 300 résonances approbatrices.
80 experts de tout le monde ont pris part à la discussion, dans leur compétence se trouvent la résolution des problèmes sociaux, économiques et politiques. Les meilleurs esprits, s'étant transformé pendant l'action en centre de science commun, ont donné plus de 100 commentaires  exclusifs selon les questions d'actualité liées à la toxicomanie. La Ligue mondiale a l'intention d'utiliser l'information reçue dans la rédaction des recommandations pour les programmes gouvernementaux pour la préservation et l'amélioration du capital social.

Les mots du Président du Venezuela Hugo Chavez ont donné l'état d'esprit juste de la conférence «nous devons avoir l'esprit de Don Quichotte, le militant, qui est venu à notre monde lutter contre l'injustice». Qu`est-ce que apporte au monde le plus désaccord, que la drogue et sa politique?

Noursoultan Nazarbayev comme un grand politique moderne a focalisé l'attention à l'aspect géopolitique du sujet: «Nous étudions et nous analysons cette question, et aujourd'hui la sortie des forces collectives de l'Afghanistan et la transmission du pouvoir à l'élite locale provoque l'inquiétude. Il n`est pas encore clair, quel gouvernement mettra à la tête du pays et s'il pourra s'opposer aux volumes augmentant du narcotrafic. La stabilité de la région reste sous la question à cause de la situation chauffée sur le Proche-Orient. On ne sait pas, comment l'opposition d'Israël et l'Iran s'achèvera et comment cela se reflétera sur l'Afghanistan», – dit-il dans son Manifeste.

Nazarbayev a souligné la priorité des actions collectives dans le cadre de l`Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) et de l`Organisation de coopération de Shanghai (OCS) pour la réduction maxima du trafic des drogues dans les territoires du Kazakhstan et de la Russie.
Cependant certains participants de la conférence ont rencontré ambigument le Manifeste du Président du Kazakhstan: «c'est correct, mais si le monde est unipolaire, le trafic de drogue prospérera», – trouve Cindy de New York.

Valentina Matvienko s'est adressée à son tour aux problèmes nationaux: «Aujourd'hui n'importe quelle personne, d'une manière ou d'une autre, soutenant le trafic de drogue doit être considérée comme le criminel», – pense le Président du Conseil de fédération de Russie. Une telle réaction est tout à fait régulière, en effet, en Russie le problème de la toxicomanie se pose de manière tres aiguë.
Seulement ces dernières dix années la quantité non officielle de toxicomanes malades a augmenté jusqu'à 1,5 millions de personnes. 94 % des malades du VIH sont les toxicomanes, et dans 44 régions de la Russie la quantité de toxicomanes excèdent 100 personnes sur 100 milles de la population. Avec tels chiffres accablantes Valentina Matvienko se produisait bien des fois devant le pouvoir législatif de la Fédération de Russie et a fait cela encore une fois sur la plateforme de la Ligue mondiale.

Michelle Obama dans son appel a proposé d'utiliser une nouvelle approche de la lutte contre la toxicomanie. Ce qui a fait les drogues populaires, cela les déracinera: «l'Amérique du dernier siècle se trouve dans l'avant-garde des transformations et des acquisitions sociales. Et le phénomène de la toxicomanie lié à la culture des années 60 et aux ouvertures médicales du même temps, a épuisé aujourd'hui le potentiel de l'élargissement de la conscience et de l'engendrement des communautés séparées, tels que le hippie. On peut dire, les expériences extrêmes avec la personne et la société en Amérique sont terminées et tout le monde savent largement les résultats», – dit Mme. Obama.

La Première dame des États-Unis appelle à élever les citoyens responsables et à former la juste relation: «En prenant en considération ce que l'Amérique est la patrie de la culture de masse – et avec les tendances à la mondialisation elle s'est transformée en centre intellectuel du monde, cela dépend de nous du contenu du message que nous transmettons au monde dans les produits de la culture. C'est pourquoi dans nos mains il y a un outil le plus fort de l'influence sur la réalité».

La Reine des Pays-Bas Beatrix Wilhelmina Armgard a occupé la position la plus loyale: «les Pays-Bas suivent la politique de la tolérance. Cela signifie que bien que la conservation et la vente des drogues douces sont les délits, il n`y a pas de poursuite criminelle», – dit-elle. Beatrix Wilhelmina Armgard a tenté d'expliquer l'essentiel de la politique non triviale des Pays-Bas en ce qui concerne les drogues douces. «L'idée consiste en ce qu'aux gens, qui utilisent la cannabis, il ne faut pas acquérir illégalement la drogue douce, cela permet de diminuer leurs chances de l'entrée dans le contact avec les drogues dures». Cependant en conclusion elle a marqué: «Je ne me mets pas affirmer que l'expérience des Pays-Bas sera aussi fructueuse à son introduction dans d'autres États».
Les commentateurs ont réagi vivement. L'utilisateur Couba du Kazakhstan a écrit qu`il soutient entièrement la politique des Pays-Bas: «Il serait bon de l'adapter à notre pays». On n`a pas passé du sarcasme: «La Hollande avec ses drogues, comme sa sélection du football, elle fait tout juste, mais au total c`est zéro points», – a établi l'analogie Irvin de Dublin, l'Irlande.

Le facteur distinctif de cette conférence est devenu le pluralisme absolu des opinions.
Si l'utilisateur Lin de la Chine sous le manifeste de Sa Sainteté le Dalai-Lama XIV a écrit qu`il trouve la politique du pays (Chine) juste, mais insuffisamment sévère et appelle «à punir durement ces toxicomanes pour que les autres craignent de contacter les drogues», l'utilisateur «Jeune et Chaud» de l'Australie dans son commentaire a déclaré: «J'appelle tous, qui m'entendent, à profiter la vie car si vivre sans rien à se rappeler, est-ce que c'est la vie? C`est une existence.
Il y a les pierres ou les arbres, nous devons vivre!»
Les interventions des experts étaient souvent les réponses exhaustives sur les propositions semblables. L'Ex-chef du Service fédéral du contrôle des drogues de la Russie Alexandre Mikhailov a raconté d 'une manière convaincante des changements du milieu d'information: «Il y a quelques années il y avait en général une interdiction à n'importe quelles mentions du rétablissement possible. «On ne peut pas dire, parce que la jeunesse pensera que d`abord je prends les drogues et puis je guérirai!». Aujourd'hui nous comprenons que telle théorie est l'impasse pour le rétablissement. N'importe quelle personne doiy avoir un espoir. Le diabète est incurable, mais est-ce que nous repoussons les malades? Chaque personne a des cellules cancéreux mais est-ce que nous privons le malade des espoirs? Et les gens avec l'épilepsie? Il faut reconsidérer ces théories dans la racine. Et l'aide peut être la seule, ce sont les efforts de la société et de l'État de retourner les gens à la société».

 «Le rapport des riches et pauvres gens, la possibilité de l'autoréalisation de la personne dans les conditions difficiles des relations du marché, le niveau de la formation et de l'emploi de la population sont considérés comme un d'importants facteurs sociaux de la prospérité de la société, – continue le sujet de la relation publique le président de l'Union des journalistes de la Russie Vsevolod Bogdanov. – Le fondement de la personnalité est mis dans la famille.
C'est pourquoi l'État, son administratif et les instituts des finances doivent créer les conditions modernes et suffisantes pour le développement harmonieux des futurs citoyens».

Dans l'action de la Ligue mondiale qui embrasse 138 pays du monde, les plus actifs étaient les citoyens des pays de la CEI et de l'Europe, puis des États-Unis, du Japon et du Canada. Les habitants de l'Amérique du Sud ont manifesté un petit intérêt pour les problèmes de la toxicomanie. La plus grande quantité de visiteurs était enregistrée dans la Russie.
Plus de 100 milles visiteurs du plus grand pays ont reçu l'information la plus actuelle sur les réalités d'aujourd'hui de la lutte contre la toxicomanie.

Les participants les plus actifs sont les visiteurs de l'Europe et des Pays de l'Europe, des CEI, des États-Unis, de la Chine et du Japon. Pour le moment suivant les résultats de la conférence la Ligue mondiale recueille les utiles recommandations pour la rédaction du rapport final.


 

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