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Les pénalités sont encore vivantes

19.07.2012

Le dernier incident dans l`orphelinat de Sofino a montré que «la psychiatrie punitive» est appliquée largement dans les institutions russes médicales et d'instruction. Les chefs cyniques et indifférents prennent la décision unique pour eux: il est plus facile de cacher la personne à la clinique psychiatrique, «en la corrigeant» à l`aide des tranquillisateurs, que passer les travaux de son adaptation sociale.

Il n'y a pas longtemps une jeune journaliste de la ville de Naro-Fominsk de la région de Moscou Ksenia Tourtchak était accusée (art. 137 du Code Pénal de la Fédération de Russie «L`infraction de l'inviolabilité de la vie privée») pour l'exécution de la dette professionnelle. La tentative de la journaliste de comprendre comment on torture les enfants dans les orphelinats de la Russie est devenu le prétexte pour l'accusation.

Ksenia Tourtchak en travaillant dans le journal «Nara-la nouvelle» en 'automne de l`année passé a fait passer de l'enquête journalistique sur l'application de «la psychiatrie punitive» dans l`orphelinat de Sofino de la région de Moscou.
A l`aide de ses publications la journaliste a sauvé un enfant de cette institution de l'hospitalisation forcé à la clinique psychiatrique. Le directeur de l`orphelinat n'a pas trouvé la meilleure punition pour le garçon qui s'enfuyait périodiquement. Au cours de l'enquête on a révélé que encore 10 élèves au minimum de l`orphelinat étaient en traitement forcé à à la clinique psychiatrique.
Pour le moment, les pouvoirs de la région Naro-Fominsk ont reconnu tous les cas des violations de l'orphelinat de Sofino.
Comme preuve «Interfax» a cité les mots du chef du département de la formation de l'administration de la région Naro-Fominsk Vladimir Bykov: «Nous, étant les créateurs de cette institution, devons assumer la responsabilité. L'absence du contrôle nécessaire ne nous fait pas l'honneur». «Le Service russe des actualités» communique que le Mandataire des droits de l'enfant Pavel Astakhov qui a inspecté l'institution a marqué: «Il n`y a pas de Conseil de patronage ici, de même que la licence médicale. Les enfants disent des grossièretés, les animaux sauvages errent sur le territoire. Il y a même un kiosque où on vend la bière et les cigarettes».

La Ligue mondiale «Esprit libre de drogues», présidé par le professeur Jenichbek Nazaraliev, est toujours catégoriquement contre par rapport aux méthodes semblables. Le professeur lui-même, ayant commencé la profession de médecin encore à la fin des années 80 du siècle passé, a rejeté «la psychologie punitive» largement répandu à cette époque-là en URSS, l'ayant désigné comme le moyen non humain et la décision des tâches psychiatriques contre-productive. La position du professeur Nazaraliev contribuait en plusieurs cas à l'apparition de la tradition du refus des méthodes archaïques et de la naissance «d`une nouvelle psychiatrie», fondée sur les humanités, les différenciations des approches et la socialisation individuelle de chaque patient.



 

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