18.12.2012
Selon les études scientifiques de l`université de Montréal, la dépendance à la nourriture grasse et sucrée de nourriture peut être aussi bien forte que la drogue. Les gourmands connaissent aussi le sevrage. La dépression est la plus inoffensive, ce qui peut arriver à ceux qui décident arrêter. La peur de l`espace ouvert, l`irritabilité et l`anxiété inexpliquée, l`agression et même la propension au suicide.
C`était la réaction des souris de laboratoire. D`abord on leur donnait de la nourriture grasse et sucrée, puis tout à coup on les prive de plaisirs délicieux. Certains souris ont commencé à se jeter sur les barreaux de la cage et la ronger. Les autres ont commencé à attaquer les compagnons d`infortune. Il y avait ceux qui mordaient leurs queues.
La sucrerie change des processus chimiques dans le cerveau. Les scientifiques canadiens conseillent de dire non à la nourriture grasse et sucrée.