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Le président du Fonds d'Initiatives a parlé des raisons de son coopération avec la Ligue mondiale

02.04.2013

L'exposition «Monde contre la toxicomanie» continue de réunir des pesonnages publics et politiques.

Askar Salymbekov, président du Fonds d'Initiatives, co-organisateur de l'exposition

Le Fonds d'Initiatives a été créé l'année dernière. Quand Jenichbek Nazaraliev nous a fait appel, nous serons heureux de participer au projet Doctor Life, et maintenant, nous participons activement à l`exposition. La toxicomanie est un problème très actuel qui détruit les familles, détruit le corps de l'homme et la société. Nous devons créer avec nos propres moyens une barrière contre la drogue, contre sa propagation. Nous savons que la dépendance apporte les malheurs et les souffrances et cela nous a incité de participer à l`exposition en collaboration avec la Ligue mondiale.

Je pense que l`édition de l'exposition «Monde contre la toxicomanie» aux universités  est une très bonne idée, parce que l`on sait bien que les drogues sont très répandues chez les jeunes, dans des discothèques. Après avoir vu cette exposition, de nombreux jeunes gens réfléchissent sur les conséquences de la toxicomanie.

Le travail de la Ligue mondiale «Esprit libre de drogues» du professeur Jenichbek Nazaraliev est louable et méritoire. Le projet Doctor Life qu`on diffuse maintenant dans le monde entier, montre que les personnes narco-dépendantes de nombreux pays viennent au Kirghizstan pour suivre un traitement. C'était un grand projet en résonance. Je pense que Jenichbek Nazaraliev aura encore beaucoup de grands projets et les activités de la Ligue mondiale seront mis en œuvre depuis longtemps. Je sais qu`on planifie d`exposer les travaux dans le sud du pays où la toxicomanie esr très répandue à cause du trafic de drogues qui passe de l'Afghanistan à travers cette région. Je pense que cet événement aura un grand retentissement.

 



Askar Kakeev, docteur en philosophie, professeur, académicien de l'Académie Nationale des Sciences de la République Kirghize, recteur de l`Université Slave Kirghizo-Russe

Les travaux de l'exposition me frappent de leur artistisme. Au Kirghizistan, le problème de la toxicomanie est  extrêmement grave depuis l'époque soviétique, quand dans la région d`Issyk-Koul on cultivait du pavot à opium à des fins médicales, mais qui était souvent utilisé à la fabrication de l'héroïne. Je suis très préoccupé par ce problème. Il est extrêmement important de montrer le monde terrible d`un drogué aux jeunes gens confrontés à ce danger. Peut-être, après avoir vu les œuvres présentées dans l'exposition, les jeunes gens commencent à réfléchir sur ce sujet au lieu de faire une démarche imprudente.

 

Nourlan Beïchekeev, spécialiste du Département de la prévention des drogues du Service public de contrôle des drogues

Le problème de la toxicomanie au Kirghizistan est très sérieux, nous devons nous consolider et porter un coup tous ensemble. Ce n'est pas seulement un problème des services de l'ordre et des autorités de santé, mais un problème de toute la société. Si nous ne sommes pas ensemble pour lutter contre ce fléau, alors tous nos efforts seront réduits à néant. Cette exposition est très importante pour nous parce que la République Kirghize est située sur les itinéraires du trafic de drogues et la population du pays croise toujours avec la toxicomanie. La toxicomanie est toujours accompagnée par d'autres maladies: VIH, hépatite, infections sexuellement transmissibles, etc.

Nous devons nous occuper de la prévention primaire de la toxicomanie. Ça dépend des personnes qui n'ont pas encore rencontré avec ce mal. Donc, nous devons promouvoir un mode de vie sain depuis la maternelle, des écoles, etc. Ce problème doit engager le Gouvernement, l'administration du Président, le Parlement, des organisations non gouvernementales et internationales et, bien sûr, les services de l'ordre. Mais je crois que, dans l'avenir, la force principale dans la lutte contre la toxicomanie sera toute la société. Sinon, nous ne pourrons par résoudre ce problème. Nous devons nous consolider et travailler dans la même direction. Dans ce cas seulement, nous pourrons vaincre ce mal. 

 

Nourlan Mamankoulov, spécialiste du Département de l'éducation de la Mairie de la ville de Bichkek

Nous approuvons telles  initiatives. Nous travaillons aussi dans cette direction. Quand les gens offrent leur aide, nous ne refusons jamais. Nous sommes toujours prêts à promouvoir et à organiser le travail collectif car nous savons bien que le thème de l'exposition est aujourd'hui très pertinent. Pas tout le monde ne peut organiser un projet sérieux et social et nous sommes très reconnaissants pour ce travail. La jeunesse doit toujours informée sur les dangers de la toxicomanie pour se protéger contre elle. Il faut parler de cela. Si les mots sont confirmés par de telles images qui sont représentées dans l'exposition, l'impact sera renforcée de deux manières. Une chose c`est d'entendre et l'autre c`est de voir de ses propres yeux.

 

Toursounbay Bakir Oulou, député du Parlement, ex-ombudsman de la République Kirghize

Je suis venu pour cette exposition en laissant mes rapports du Comités parlementaire, parce que j`ai pensé que c`est mon devoir d'y participer. Le problème de la toxicomanie pour le Kirghizstan et toute la région de l`Asie centrale est très pertinent. La toxicomanie supprime notre héritage  génétique, notre avenir, notre jeunesse. Par conséquent, la tâche des politiciens, de l'état et de personnalités publiques est d`arrêter la prolifération de cette épidémie et de soutenir nos compatriotes, comme Jenichbek Nazaraliev, dans cette lutte. C`est une personnalité unique, son travail est reconnu par des leaders de nombreux pays et de nombreuses religions et la réalisation de cette action est extrêmement importante, surtout dans une telle institution comme l'université. Le gouvernement de la République Kirghize doit créer les conditions pour l'exposition «Monde contre la toxicomanie» non seulement dans les universités de la capitale Bichkek, mais aussi dans toutes les institutions de l`éducation du pays, parce que les trafiquants de drogue se concentrent précisément sur les jeunes. Donc, partout où il y a les jeunes, il faut organiser de telles actions.

Les travaux entrepris par le Parlement pour lutter contre la toxicomanie sont insuffisants. Je ne me souviens pas que le Parlement présent adopte le projet de loi sur ce sujet. Les lois déjà adoptées sont obsolètes. Le monde de la toxicomanie change, les trafiquants de drogues tentent aussi de s'adapter aux conditions du monde moderne. La législation doit rester en tête. Malheureusement, le gouvernement du Kirghizstan, ni le Parlement n`ont de tels professionnels uniques comme Jenichbek Nazaraliev. C'est pas évident que l`un député ou un ministre prendront l'initiative eux-mêmes. Ça serait plus efficace si le professeur Nazaraliev introduira ses propositions généralisées sur la base de nombreuses études dans différents pays du monde. Je pense que le Parlement et le gouvernement les soutiendraient.    

 

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