06.06.2012
La légalisation de la marihuana aux États-Unis prend des tours. La politique de la relation "molle" est soutenue par les administrations des États. Suivant d'eux c`est Connecticut, qui est devenu le 17-ème États dans la liste, où on permet désormais l'utilisation de la marihuana dans les buts médicaux. La loi réglant cette question est signée par le gouverneur Dannel Malloy.
Désormais dans cet État la marihuana sera vendue dans les pharmacies à la prescription, seulement les médecins pourront la prescrire qui ont reçu la licence spéciale.
Pendant la signature du projet de loi le gouverneur de l'État a déclaré: «Nous avons accédé aux désirs de mille patients, qui s'adressaient plusieurs années pour la demande de permettre l'utilisation de la marihuana comme l`anesthésique et le sédatif. Nous trouvons cette mesure humaine, en effet, cela aidera à surmonter les douleurs intolérables à tous, qui souffrent des maladies chroniques ou passent le cours de la chimiothérapie».
Cependant la vente de la marihuana dans les pharmacies est accompagnée par le durcissement sérieux du contrôle de l'utilisation et de la vente du moyen narcotique. Selon le projet de loi, chacun, qui souhaite acquérir pour lui-même le cannabis à la prescription, est préalablement engagé à se faire enregistrer dans le Département de la protection des droits des consommateurs de Connecticut. Pour un tel enregistrement il est nécessaire d'accorder cette confirmation documentaire au Département que le patient a des maladies réelles et il a besoin de l'utilisation de cette préparation.
Le gouvernement a aussi strictement limité la liste des maladies, quand on permet de prendre la marihuana. C'est le cancer, le SIDA, le glaucome et la maladie de Parkinson. Ce sont seulement 5 compagnies qui pourront livrer "ce médicament" qui ont passé la sélection sévère, pendant qu'utiliser le cannabis cultivé est interdit même en présence de la prescription.
Selon l' ITAR-TASS, malgré la nécessité admissible de cette loi, plusieurs experts aux États-Unis affirment qu'elle contredit la politique antidrogue de la direction du pays. Les départements fédéraux de la lutte contre les drogues passent activement les rades et les actions indicatives dans tout le pays, appelés à réduire le trafic des drogues, bien qu'en même temps dans les autres États elles se légalisent. Cette non jonction met sous le doute toutes les actions prophylactiques.
