14.06.2012
Un de ces jours le ministre de l'Education de l'Estonie Jaak Aaviksoo a reçu la demande de député du parti сentriste du parlement avec l'exigence de donner les explications du lexique donné à de jeunes Estoniens aux leçons de la langue russe.
En automne le ministre devait déjà donner les explications officielles en matière de qualité du document d'étude exposé dans les manuels. Alors il a reconnu la présence de la grande quantité de problèmes et des défauts dans ce domaine et a promis de compredre cette affaire.
Cependant dans la demande actuelle les députés n'ont pas noté les les faits nus, mais ils ont donné une série de citations du manuel de la langue russe pour les élèves de 12 classes des gymnases estoniens. Dans les exercices des manuels on fait un grand appui sur lexique des toxicomanes : «Sur le Nord-est de l'Estonie il existe la jeunesse enivrée par « l'herbe». Les jeunes gens ne peuvent pas trouver l'argent pour la ribote et c'est pour cela qu'ils utilisent ce qu'il est moins chèr. Ils sentent la benzine et le toluène, achètent l`ecstasie. Il est impossible de les trouver chez eux, puisqu'ils cherchent les places, où on peut droguer sans problèmes et s'oublier».
Le député du parlement de l'Estonie Yana Toom étant l'auteur de cette demande, a expliqué qu'on avait les difficultés définies avec le choix de la citation: «Il fallait choisir la partie du texte caractérisant au maximum cette situation, puisque c`est pas possible de mentionner tous les textes». Mme. Toom a mis le manuel scandaleux à la demande pour l'étude soigneuse par le ministre, où elle a mis les places douteuses.
Ainsi, dans le manuel on propose d'apprendre tels mots comme «joint», «traficant», «se piquer», «noir», «poivrot invétéré». Dans son appel au ministre les députés s'intéressent, comment l`excellente connaissance de cette lexique aidera la jeunesse estonienne à être intégrée à la communauté mondiale et comment les rédacteurs des manuels pour les enfants admettent les sujets de la consommation des drogues ou les viols.
